En
analysant un peu le mode de fonctionnement d'une centrale nucléaire,
il est clair qu'il s'agit très probablement d'un sabotage.
Un réacteur nucléaire, c'est quelque
chose de très simple dans son principe et son fonctionnement. il ne
s'agit jamais que de barres d'un métal qui chauffe tout seul et qui
sert à chauffer de l'eau pour ensuite faire tourner une turbine
électrique.
Le seul problème qui peut survenir,
c'est que les outils servant à contrôler la réaction nucléaire ne
tombent en panne, parce que, dans ce cas, il va y avoir une explosion
de vapeur, puis l'eau va s'hydrolyser (l'hydrogène se sépare de
l'oxygène et il risque ensuite d'exploser), et enfin l'uranium se
met à fondre. Pour éviter ça, il y a deux méthodes :
1) refroidir les barres et modérer la réaction nucléaire avec un flux d'eau (l'hydrogène de l'eau capte les neutrons qui alimentent la réaction nucléaire) ;
2) intercaler des barres de modération (faites de bore, mais avec des bouts en graphite, à Tchernobyl) entre les barre d'uranium, pour diminuer la réaction nucléaire (en captant là aussi, les neutrons).
1) refroidir les barres et modérer la réaction nucléaire avec un flux d'eau (l'hydrogène de l'eau capte les neutrons qui alimentent la réaction nucléaire) ;
2) intercaler des barres de modération (faites de bore, mais avec des bouts en graphite, à Tchernobyl) entre les barre d'uranium, pour diminuer la réaction nucléaire (en captant là aussi, les neutrons).
Donc, le problème principal, c'est
soit d'apporter suffisamment d'eau pour que les barres ne fondent pas
(eau qui doit être refroidie par le circuit secondaire) ; soit
d'arrêter la réaction avec les barres de bore. C'est donc un
problème très simple. Pour contrôler le flux d'eau, on dispose de
plusieurs pompes (au moins 8 à Tchernobyl). En France, une pompe est
suffisante pour assurer seule le refroidissement de l'uranium. Je ne
sais pas ce qu'il en est exactement pour ces centrales russes. Mais
je pense que ça doit être à peu près la même chose. On peut
tabler sur un ordre de deux pompes maximum pour assurer le
refroidissement du cœur. Et en plus, ces pompes sont secondées en
général par des pompes de secours.
1) La version officielle
Ce qu'on met en avant, pour Tchernobyl,
c'est le fait que la situation n'était pas habituelle. Profitant
d'un arrêt prévu du réacteur de la tranche 4, pour des opérations
courantes de maintenances, on a voulu déterminer si, en cas de perte
d'alimentation générale, la turbine marchant au ralenti pourrait
fournir suffisamment d'énergie électrique pour faire fonctionner
les équipements de secours et les pompes de circulation de l'eau de
refroidissement du cœur, jusqu'à ce que les groupes diesel de
secours puissent en produire. Cet essai avait pour objet de
déterminer si le refroidissement du cœur pourrait continuer à être
assuré en cas de perte d'alimentation électrique. Donc, on dit que
ce sont les décisions prises durant cette expérience qui ont été
la cause de la catastrophe. Décisions qui ont été catastrophiques
aussi à causes de certains défauts de conception de la centrale.
En fait, il y a eu plusieurs incidents
mineurs ce jour là, (conduisant à chaque fois, avant l'erreur
finale conduisant à la catastrophe, à un empoisonnement au Xénon
du cœur). Mais c'est vers 1h23 que s'est situé l'incident majeur
qui a déclenché la catastrophe. C'est là que se situe le problème.
Selon la version officielle, avant la
mise en oeuvre de l'expérience, on a levé toutes les barres de
modération, ce qui a obligé, en compensation, pour refroidir
l'uranium du cœur, de mettre toutes les pompes à fond. Puis, lors
de la mise en oeuvre de l'expérience, à 1h23, d'un seul coup,
puisque la turbine électrique a été ralentie, 4 (celles qui
étaient mues par l'énergie fournie par la turbine de la centrale)
des 8 pompes ont été à leur tour ralenties. Ca a augmenté la
chaleur dans le circuit primaire, engendrant un état instable du
réacteur en augmentant la quantité de vapeur dans ce dernier. Pour
pallier à ce problème, un technicien a appuyé sur le bouton
d'arrêt d'urgence.
C'est présenté comme l'erreur qui a
tout déclenché. Toutes les barres de contrôle sont descendues en
même temps. Mais, le problème, c'est que le bout des barres de
contrôle est en graphite. Or, le graphite modère très peu la
réaction nucléaire. Et les barres de contrôle en question ont le
défaut de descendre assez lentement (20 secondes, contre 2 secondes
dans les centrales occidentales). Ce qui fait que durant ces quelques
secondes, la modération ne se fait plus (puisqu'il n'y a plus d'eau
pour modérer la réaction, puisque à la place, il y a la barre en
graphique, et que les barres de bore ne sont pas encore en place).
Donc, la réaction nucléaire s'est totalement emballée et a été
multipliée par 100 En quelques secondes, passant à 300.000 MW. Du
coup, une grosse partie de l'eau s'est transformée en vapeur en
quelques instants, entraînant une explosion. Puis, sous l'effet de
la chaleur, la vapeur à été hydrolysée, c'est à dire que
l'hydrogène s'est séparé de l'oxygène. Enfin, l'hydrogène, en
contact avec le graphite surchauffé a explosé, dispersant dans
l'atmosphère une partie du combustible radioactif.
2) Les problèmes que pose la version
officielle
Cette version des choses fait assez
clean et logique. Mais, si on gratte un peu la surface de ce vernis,
on s'aperçoit que c'est loin d'être le cas.
Plusieurs questions se posent :
1) En quoi le ralentissement de 4
pompes à provoqué un état instable ? De quel nature était-il ?
Est-ce qu'avoir seulement 4 pompes fonctionnant à plein régime et 4
pompes à régime moins fort était insuffisant pour modérer et
refroidir le coeur avec les barres de modérations retirées ?
2) Si c'est vraiment le cas, pourquoi
un tel état n'a pas été prévu ? C'était pourtant parfaitement
prévisible. Ça n'avait rien d'extraordinaire de prévoir une telle
chose. Or, une telle bourde était impossible, vu la présence de
nombreux ingénieurs et vu la présence plus que probable d'un
logiciel expert prévenant du danger.
3) Pourquoi avoir descendu les barres
de contrôle plutôt que d'avoir augmenté la puissance des pompes
restantes ? Surtout vu le problème des bouts en graphite des barres
de contrôle (problème qui était connu des ingénieurs russes). Et
si le problème était de descendre toutes les barres en même temps
(problème connu, donc), pourquoi ne pas les avoir descendu les unes
après les autres ?
4) Pourquoi la descente des barres de
modération n'a-t-il pas engendré le même genre de problème dans
des centrales similaires ? En effet, ce qui semble avoir posé
problème, ce n'est pas tellement la chaleur de l'eau, mais la
lenteur de descente des barre en graphite. Si ça fait passer pendant
quelques secondes le réacteur à 300.000 MW, soit 100 fois plus que
le maximum habituel, peu importe la chaleur de l'eau, elle sera
vaporisée aussitôt.
Ce qu'on nous dit, en fait, c'est qu'on
a mis le réacteur dans un état ou il était obligatoire de
descendre à terme toutes les barres de modération, donc, d'arrêter
le cœur. Ben oui, parce que si la levée des barres de contrôle
obligeait à mettre toutes les pompes à fond pour éviter un
accident, dans la mesure où on savait que l'arrêt de la turbine
génératrice allait ralentir les 4 pompes liées à son
fonctionnement, il ne restait plus qu'une solution, descendre les
barres de modération.
A partir de là, deux possibilités. 1)
soit l'augmentation de température de l'eau ne nécessitait pas la
descente de toutes les barres de modération, et donc, ne nécessitait
pas l'arrêt complet du réacteur. Et dans ce cas, on se demande bien
pourquoi l'opérateur a procédé à l'arrêt complet du réacteur.
Et on se demande également pourquoi il y a eu explosion, puisque,
comme la température de l'eau ne nécessitait pas l'arrêt complet
du réacteur, elle ne devait pas être assez chaude pour se vaporiser
et entraîner l'accident. Sinon, ça serait arrivé bien avant dans
d'autres centrales de ce type ; 2) soit ça nécessitait l'arrêt
complet du réacteur (ce qui n'était vraiment pas le but de
l'expérience). Et dans ce cas, on se demande pourquoi on a mis le
réacteur dans cet état, puisque c'était parfaitement prévisible.
Evidemment, si on pouvait augmenter le
flux des pompes au lieu de baisser les barres de contrôle, on se
demande bien pourquoi ça n'a pas été fait.
On peut aussi se demander pourquoi ils
n'ont pas prévu que le ralentissement des pompes allait se produire
et engendrer un état instable. Et pourquoi, alors, ils n'ont pas
baissé quelques barres de contrôle au moment ou ils ont arrêté la
turbine, ou pourquoi ils n'ont pas augmenté le flux des pompes
restantes (si c'était possible, bien sur).
Et avant ça, un peu avant la mise en
place de l'expérience, on peut se demander pourquoi ils n'ont pas
plutôt descendu quelques barres de modérations et eu une partie des
pompes ne fonctionnant pas au maximum, plutôt que de monter toutes
les barres, et avoir eu toutes les pompes au maximum. C'était
beaucoup plus logique. Ca leur aurait permis, lors de l'expérience,
d'avoir une marge de manoeuvre. Comme ils savaient qu'une partie des
pompes allait ralentir, ça évitait d'avoir un risque de surchauffe
de l'eau. Ensuite, on avait le temps de mettre en marche le groupe
électrogène de secours pour mettre à nouveau les 4 pompes à fond.
Et à ce moment-là, on pouvait remonter toutes les barres de
contrôle.
Par ailleurs, on se demande comment ça
se fait qu'il n'y ait pas eu un remplacement immédiat de
l'alimentation des 4 pompes assurée normalement par la turbine de la
centrale, par celle venant des générateurs de secours. Ca aussi, ça
devait être prévu. Donc, ils ne devaient pas être surpris.
On pourra dire que c'était le but de
l'expérience de déterminer ce qui allait se passer dans le cas de
la perte d'alimentation en électricité (à cause de l'arrêt de la
turbine génératrice) de certains éléments vitaux de la centrale.
Cela dit, dans ce cas, l'expérience semble une expérience
d'apprenti sorcier. C'est genre "on va voir ce que ça fait s'il
n'y a plus d'énergie pour alimenter les pompes et les systèmes de
secours. Et s'il ne se passe rien de grave avant que les générateurs
de secours ne se mettent en marche". Or, a priori, il est
évident que si on coupe tout ce qui permet à la centrale de marcher
correctement, on va aboutir directement à une catastrophe. Ou alors,
l'expérience ne consistait pas vraiment en ça, mais consistait à
voir si le groupe électrogène de secours fonctionnait bien. Dans ce
cas, il aurait du prendre le relais immédiatement. Et il n'y aurait
pas eu de ralentissement de 4 des 8 pompes.
Et tout ça, en plus, en faisant en
sorte que tout le refroidissement et toute la modération du cœur
soit assuré par les pompes. On sait que les pompes vont diminuer de
vitesse et qu'on ne va pas pouvoir les accélérer avant quelques
temps. On sait qu'il faut qu'elles soient à fond pour assurer le
refroidissement correct du cœur, et que toute diminution pourrait
poser problème. Mais on fait reposer tout le refroidissement et la
modération du cœur sur les pompes. Si on voulait créer un
accident, on ne pouvait pas mieux procéder.
Par ailleurs, en France, le
refroidissement peut être assuré entièrement par une seule pompe.
Donc, ça semble très bizarre qu'avec 4 pompes encore en pleine
activité, et 4 pompes ayant seulement ralenti, on soit arrivé à
une situation critique.
En plus, l'arrêt d'urgence peut-être
utilisé à d'autres moments. Donc, ça veut dire qu'à chaque fois
qu'on appui sur le bouton d'arrêt d'urgence alors que la majeure
partie des barres de contrôle est retirée du cœur, on doit obtenir
un accident du type Tchernobyl.
Tout ça est donc cousu de fils blancs.
Quelle que soit la situation éventuelle, elle est totalement
anormale et conduit à penser clairement à un sabotage.
Les incidents précédents, dans la
journée, ayant entraîné une soi-disant contamination du cœur au
Xénon, conduisent eux aussi à conclure à un sabotage. Il n'y avait
là non plus aucune raison d'obtenir ces incidents et donc,
l'empoisonnement au Xénon. Par contre, comme par hasard, ces
incidents ont permis de justifier la suppression de plusieurs mesures
de sécurité qui, par la suite, seront en partie invoquées pour
justifier "l'accident" final.
C'est à 0h28, que l'effondrement de
puissance de 500 MW à 30 MW a entraîné la désactivation de
certains régulateurs automatiques pour continuer l'expérience.
Donc, peut-être qu'on a fait exprès d'avoir cet effondrement de
puissance pour pouvoir ensuite outrepasser les contrôles.
Outrepassant des contrôles qui permettait ensuite de justifier en
partie "l'accident".
3) La responsabilité reportée sur les
opérateurs de la centrale
Alors, bien sur, comme il n'y avait
aucune raison qu'une telle catastrophe arrive, même si on accuse en
partie la conception de la centrale, on met la responsabilité finale
sur le dos des opérateurs de la centrale, qui auraient pris les
mauvaises décisions.
On fait reposer ça sur un opérateur
qui aurait tout d'un coup, pris la décision de descendre les barres.
Mais, déjà, il n'était pas seul. Donc, il y aurait forcément eu
d'autres opérateurs qui lui auraient dit de ne pas le faire. Et
puis, de toutes manières, il y a tout ce qui s'est passé avant, qui
rend la thèse de l'incompétence des opérateurs très peu crédible.
Et qui rend beaucoup plus crédible la thèse du sabotage volontaire.
Cela dit, rapidement, on opère un
glissement d'analyse et on accuse en fait le gouvernement qui
cloisonnait trop les savoirs, qui avait mis le directeur de la
centrale par copinage, que par manque de moyen, les techniciens et
ingénieurs étaient mal formés. Bref, c'est le faute à pas de
chance, au destin, à la nature des choses, etc... Et il n'y a donc
aucune raison de faire une investigation très poussée... qui
pourrait gêner certaines personnes.
Donc, on noie le poisson.
4) Une version probable, et les vrais
responsables
La version la plus probable, c'est donc
que la catastrophe de Tchernobyl est due à un sabotage. Des
incidents ont été créés avant la catastrophe finale pour
supprimer les mesures de sécurité automatiques. Et la suppression
des mesures de sécurité automatiques, ajouté à "l'erreur"
du technicien qui a abaissé toutes les barres de modération en même
temps permettait ensuite de justifier la catastrophe aux yeux du
grand public. Concernant les techniciens, il est clair qu'une partie
devait faire partie du complot.
Quand à la décision, elle doit venir
du gouvernement russe lui-même (et au delà, de ceux qui dominent la
politique mondiale). Le fait que le gouvernement n'ait pas fait
d'investigation et n'ait pas évoqué le sabotage comme possible
raison (alors que tout montre que c'en est un) indique clairement que
le coup venait de lui.
Pourquoi le gouvernement russe aurait
créé cet accident ? Eh bien, pour donner le coup de grâce au
développement de l'énergie nucléaire dans le monde. Ce ne sont pas
les russes spécifiquement qui ont fait le coup, mais la clique qui
contrôle les gouvernements. Et ça a marché. L'énergie nucléaire,
qui commençait à être fortement critiquée, mais dont les
partisans restaient encore relativement puissants, et dont l'image
dans le public restait assez positive, a vu son développement
presque totalement stoppé dans le monde. Il y a eu three miles
Island, qui a entraîné déjà de forts doutes sur la sécurité de
l'énergie nucléaire, doutes relayés par les associations
écologistes, Hollywood et les médias. Et Tchernobyl est venu donner
le coup de grâce. C'était le méga accident nécessaire pour donner
le coup d'arrêt au développement du nucléaire dans le monde. Un
peu comme les attentats du 11 septembre 2001 ont été le prétexte à
la guerre en Irak et à la mise en place de mesures totalitaires
partout dans le monde (attentats perpétrés évidemment par la
clique qui gère les affaires du monde, pas par quelques pauvres
terroristes musulmans armés de couteaux. Mais bon, vu le nombre de
sites sur le sujet, tout le monde sait ça maintenant. Je n'ai pas à
y revenir).
D'ailleurs, Gorbatchev a été le
premier fossoyeur de la Russie communiste, ce qui a permis ensuite,
sous Eltsin, le hold-up des oligarques sur l'économie russe. Donc,
les choses vont toutes dans le même sens. Gorbatchev était un agent
de ceux qui dominent la politique mondial. Et faire un sabotage d'une
centrale nucléaire pour stopper le développement de l'énergie
nucléaire au niveau mondial, pour quelqu'un qui était en train de
liquider la Russie soviétique, c'était vraiment une opération
presque mineure.
Le fait qu'on ait laissé se répandre
le mensonge sur l'impact du nuage radioactif sur la radioactivité en
Europe montre bien que tous les gouvernements européens étaient de
mèche. Sinon, il leur aurait été facile de montrer le peu d'impact
que ça devait entraîner, comme je l'ai fait dans le précédent
article.
Enfin, il est bien sur possible que
rien de tout ça ne se soit passé comme dit officiellement, de près
ou de loin. Après tout, dans le même genre, on sait bien qu'il n'y
a eu aucun Boeing 757 piloté par des débutants qui ait volé à 850
km/h au ras du sol, se soit entièrement engouffré dans une fenêtre
au rez-de-chaussée du Pentagone en laissant à peine deux ou trois
débris sur la pelouse, avant d'être complètement annihilé par les
flammes, le 11 septembre 2001. Donc, le mensonge pur et simple est
parfaitement possible. Qui sait si les barres d'uranium n'avaient pas
été retirées avant la catastrophe, et qu'on n'a pas tout
simplement dynamité le toit de la centrale ? Ensuite, il suffisait
de montrer quelques images du toit de la centrale avec de la fumée
s'en échappant, quelques films faits par ordinateur de l'extension
du nuage en Europe, des estimations de pics de radioactivité
bidonnées, des histoires inventées sur les centaines de milliers de
travailleurs se relayant au pied de la centrale (ça c'était
peut-être vrai cela dit. Ils n'avaient pas besoin de mentir
spécialement dessus. Mais ça peut être aussi complètement faux).
Et comme personne ne pouvait vérifier, et que, de toute manière, de
telles personnes n'auraient pas eu accès aux médias de masse, tout
ça passait comme une lettre à la poste. Il est bien sur très
possible qu'une partie des opérateurs de la centrale qui sont morts
peu après la catastrophe, aient été tués (par la prise de
médicaments sur-dosés par exemple, ou tout simplement mélangés à
du poison) pour éviter qu'ils ne parlent. Il était facile ensuite
d'impliquer la radioactivité comme responsable de leur mort. Bien
sur, ce n'est qu'une hypothèse, mais on ne sait jamais.
Source: l'excellent site : petrole-abiotique.blogspot.fr/
Je ne comprend pas l'intérêt des élites qui contrôlaient le gouvernement russe à stopper le développement du nucléaire.
RépondreSupprimerSouhaitaient-ils que cette source d'énergie ne soit produite que par un organisme ou un pays unique ?
Merci d'éclairer ma lanterne.
Le nucléaire est une énergie bon marché qui permet à un état d'être indépendant énergétiquement pendant des années, voir des dizaines d'années avec la mise en place de centrales à surgénération. Et ça, c'est mauvais quand on veut contrôler les pays en question. Alors qu'avec les hydrocarbures (gaz, pétrole, charbon), on peut facilement fermer le robinet en cas de rébellion d'un pays.
RépondreSupprimerLe complot contre l'énergie nucléaire s'est fait en deux coups : Three Mile Island, puis Tchernobyl. Three Mile Island a donné un coup sévère au développement du nucléaire dans le monde. Et Tchernobyl a donné le coup de grâce.
durant le début des années 80, le développement du nucléaire civil a subit un très fort ralentissement dans le monde. Puis, à la fin des années 80, suite à Tchernobyl, il a été presque complètement arrêté.
source: http://petrole-abiotique.blogspot.fr/2009/04/accident-de-three-mile-island-la-aussi_1111.html
le coup de grâce, c'est fukushima, non ?
SupprimerTU ES ENFIN REVENU ???
RépondreSupprimerMon Brebis!
RépondreSupprimerJe pense que Fukushima relève du même procédé. Les médias présentent l'accident comme une catastrophe sanitaire et environnementale majeure alors que l'incident a fait moins de 5 morts et que la vie a bien vite repris son cours:
Toutes causes confondues du fait des accidents affectant les réacteurs nucléaires et non point seulement celles liées à la radioactivité artificielle
Nombre de morts du fait de l'accident affectant les réacteurs nucléaires de Fukushima Daiichi : inférieur à 5
Nombre de morts du fait de l'évacuation des territoires contaminés : entre 40 et 50
Nombre de blessés graves ou fortement irradiés (> 20 mSv (1)) du fait de l'accident affectant les réacteurs nucléaires de Fukushima Daiichi : inférieur à 20
Nombre de blessés légers ou faiblement irradiés (< 20 mSv (1)) du fait de l'accident affectant les réacteurs nucléaires de Fukushima Daiichi : supérieur à 100 et inférieur à 1000.
Source: fr.wikipedia.org/wiki/Cons%C3%A9quences_sanitaires_et_sociales_de_l'accident_nucl%C3%A9aire_de_Fukushima#Bilan_humain_synth.C3.A9tique_et_chiffr.C3.A9