La police Tunisienne a tiré mercredi des gaz lacrymogènes sur des centaines de
manifestants dans la capitale, qui font pression sur le gouvernement intérimaire
pour se débarrasser des alliés du président déchu Zine El Abidine Ben Ali.
Les affrontements ont éclaté devant le bureau du Premier ministre.
manifestants dans la capitale, qui font pression sur le gouvernement intérimaire
pour se débarrasser des alliés du président déchu Zine El Abidine Ben Ali.
Les affrontements ont éclaté devant le bureau du Premier ministre.
3 personnes ont été tuées alors que des milliers sont descendues dans les rues d'Egypte dans des manifestations anti-gouvernementales. Les plus grands rassemblements se sont réunis au Caire, où des manifestants ont scandé des slogans contre le régime autoritaire du président Hosni Moubarak.L'agitation est inspirée par le récent soulèvement enTunisie et alimentée par un mécontentement croissant à cause l'extrême pauvreté de l'Egypte et du chômage galopant.
Un candidat soutenu par le Hezbollah a amassé le soutien nécessaire pour devenir Liban le prochain Premier ministre du Liban. La nouvelle a rencontré une vive opposition dans le nord à majorité sunnite, où des manifestants ont brûlé des pneus et des véhicules appartenant aux médias. Les manifestants accusent le Hezbollah, dont beaucoup d'entre eux considèrent comme une émanation Iranienne, d'organiser un coup d'Etat. Les États-Unis ont exprimé leur mécontentement avec les événements, et ont menacé de retirer leur soutien au pays.
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