Chaque jour, des tonnes de substances toxiques sont libérées dans l'environnement sans que nous en connaissions les effets à long terme pour les êtres vivants. Certaines d'entre elles s'infiltrent à notre insu dans nos corps et dans celui de nos enfants.
En même temps que notre patrimoine génétique, nous transmettons aujourd'hui à nos enfants notre patrimoine toxique.
Dans une enquête inédite, menée avec rigueur et humour à partir
de ses propres analyses de sang, la réalisatrice explore les liens
entre ces substances toxiques et l'augmentation de certains
problèmes de santé comme les cancers, les problèmes de fertilité
et l'hyperactivité. Les conclusions sont troublantes...
Scénario et réalisation: Carole Poliquin
j'ai ouvert les " com... " sur mon blog .
RépondreSupprimerpasse dire un p'tit bonjour un de c'est quatre . salutations le pinou , douzi28.05.70
Au sujet de substances, il ne faudrait pas oublier non plus les résidus de pilules contraceptives que l'on retrouvent partout dans nos fleuves et qui finissent par rendre stérile la faune. Cette même faune qui avait résisté aux diverses pollutions ( industrielles, ménagères, etc ...) va finir par mourir parce que les hommes et les femmes n'auront pas voulu enseigner la retenue dans leur pratique amoureuses ou leurs pratiques sexuelles.
RépondreSupprimerLe plaisir à tous prix, sans culpabilité, c'est ce que prône la société actuelle.
Le plaisir à tous prix, c'est ce contre quoi se bat le Catholicisme car il considère l'homme comme un être responsable et que nous gagnions à apprendre à nous limiter raisonnablement.
La pilule, une grande avancée pour l"humanité ? Pas si sûr finalement...
Bien à vous
Vincent
Vincent!
RépondreSupprimerLa pillule est en effet très toxique, elle modifie l'équilibre hormonal, agit sur l'humeur et provoque des maladie à long terme.
Bien à toi,
Nikopol
Je viens de voir un reportage sur Arte à propos des substances chimique. C'est la même journaliste qui a réalisé un reportage sur Mosanto qui en est l'auteur.
RépondreSupprimerJ'ai retenu que la doxa sur laquelle beaucoup basent leurs conclusions, à savoir : " c'est la dose qui fait le poison " est complètement remis en cause avec les perturbateurs endocriniens.
En résumé, ces agents chimiques nécessitent seulement de très petites doses pour influencer l'organisme et commencer à le détruire ou le perturber et ils ne suivent pas de courbes en rapport avec la dose ingurgitée.
Il nous faut donc être attentif, non seulement à nos aliments, mais aussi aux sophistes qui utiliseront ce bout de doxa pour induire en erreur les esprits saints.
La dose fait le poison, mais parfois la substance suffit, c'est établi scientifiquement.
Bien à vous
Vincent