mercredi 25 août 2010

Vue de l'étranger, la France est en route pour le Troisième Reich



Pour que nos enfants n'aient pas à demander pardon à nos frères roms: Qui se souvient que les tziganes ont été victimes d’un génocide pendant la seconde guerre mondiale ?

Après le New York Times, l'ONU et El Watan, c'est au tour du quotidien britannique de dénoncer la politique sécuritaire du président français, notamment à l'égard des Roms.

Sécurité : vu d'Allemagne, Sarkozy va trop loin: Aucun chancelier allemand n’oserait tenir les mêmes propos que ceux tenus ces dernières semaines par Nicolas Sarkozy et certains ténors de l’UMP. Parce que conscients de leur histoire, la presse, l’opinion publique et les principaux partis allemands dénonceraient à l’unisson un discours à connotation nazie. Cela concernerait plus particulièrement l’expulsion des Roms, lorsque l’on sait que ceux-ci furent gazés durant la Seconde Guerre mondiale, comme le furent les juifs ou les homosexuels.




Le reportage Sarkozy vampirise les médias , de la chaine Suisse TSR. Censuré en France.
Chasse aux Roms : Sarkozy, applaudi par l’extrême droite italienne: Communiqué de Marine Le Pen, 28 juillet : "La réunion consacrée aux nomades à l’Elysée est l’occasion pour un Président de la République en grande difficulté de gonfler les biceps devant les caméras, espérant faire croire aux Français qu’il agit. En réalité, comme d’habitude depuis huit années que Nicolas Sarkozy est en charge de la sécurité, il n’y aura que discours, vagues déclarations d’intention et détermination feinte. Comme sur tous les sujets, aucune action concrète ne suivra et la situation continuera de se dégrader, dans nos villes et nos villages où des centaines de camps illicites perturbent gravement la vie de nos concitoyens. La technique de communication sarkozyste est maintenant bien connue et elle trouve dans la gauche et les associations bobos des complices bien commodes.



Rudolf Sarközi, mon pote (Rudolf Sarközi, porte-parole autrichien de la communauté rom)Le Monde explique qu’à l’époque féodale, le comte Batthyány accordait sa protection aux Roms du Burgenland et les plaçait sous l’autorité exclusive du chef régional, le voïvode, qui s’appelait Martin Sarközi. D’où la question du Monde : « Ce voïvode peut-il avoir une lointaine parenté avec la famille hongroise de Nicolas Sarkozy – version francisée de Sarközi –, anoblie en 1626 par l’empereur d’Autriche? » Rudolf répond : « Qui sait ? Ce patronyme est typiquement rom. Certains, dans un souci d'intégration, l'ont même abandonné de crainte d'être stigmatisés. Au Burgenland, à la frontière avec la Hongrie, il est possible d'enseigner dans les écoles publiques en langue romani. »


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